• J'irais

     

    J'irais puiser ici l'essence de tes yeux,

    Ces larmes me rendant encore malheureux,

    Quand dans ton cœur, je sais qu'il pleut,

    Mes lignes ne parleront que de nous deux.

     

    J'irais voler tes lèvres dans un baiser,

    Pour cultiver cette moisson de sourire,

    Sous le souffle de ton plus beau soupir,

    J'apprendrais enfin ici à te respirer.

     

    J'irais éteindre toutes les étoiles,

    Et qu'elles ne voient pas tes pores,

    Quand sous tes draps, tu t'endors,

    L'amour retire son merveilleux voile.

     

    J'irais cueillir des mots de l'encrier,

    Et je les ferais sécher sur mon cahier,

    Ils parleront que de toi sans se méfier,

    Car je n'arriverais jamais à t'oublier.

     

    Respectueusement. Zéphy.  

                   

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  • Tu es une femme de toute beauté.

     

    Aucun humain ne peut aspirer à vraiment aimer,

    Sans éprouver le grand besoin de dialoguer,

    Converser quand on s'aime est d'une nécessité,

    Qu'aucun être du genre ne saurait vraiment nier.

     

    Pour enrichir l'amour, dialoguer est de l'or,

    Il est à sa survie ce que l'eau est au corps,

    Contribue à une meilleure connaissance de l'élue,

    Qui reçoit avec joie tout ce qui lui est due.

     

    Quand le dialogue dans l'amour n'est pas présent,

    Il ne se fortifie pas, mais s'affaiblit certainement,

    Refroidissant les amoureux petit à petit,

    Les privant de joie, et d'autres précieux fruits.

     

    Le dialogue dans l'amour est une source bienfaisante,

    Et sa douce présence est vraiment fortifiante,

    Le dialogue, nullement, ne doit être écarté,

    D'une vie amoureuse désirant exceller.

     

    Le dialogue est la sève bienfaitrice qui nourrit sa vie,

    En le permettant de multiplier de succulents fruits.

    Dialogue, et amour sont deux inséparables amis,

    Aidant tout sentiment à être bien construit.

     

    Le dialogue constructif est vecteur de bonheur,

    Il chasse en nous la peur, et procure bonne humeur,

    Par sa présence, tout conflit peut être résolu,

    Traités, et écartés de graves malentendus.

     

    Qui refuse à son prince charmant le dialogue,

    Tue sans ménagement l'amour, le déplonge,

    Annonçant tout bonnement le départ des beaux jours,

    Qu'il a trouvés, ou va chercher vers d'autre cour l'amour sous un nouveau jour.

     

    Tu prétends aimer l'autre sans vouloir entendre ses mots, mesures-tu la valeur de tes propos, ne sais-tu pas qu'aimer, c'est ouvrir à l'élue son cœur, en l'écoutant avec attention, et chaleur.

     

    Aimer n'est-ce pas donner à l'autre toute son âme,

    Réponds donc, belle, et charmante amie,

    Aimer, n'est-ce pas donner le meilleur de soi-même,

    Pour permettre à l'amour d'arriver à son terme.

     

    N'offense pas l'amour par la fuite du dialogue,

    Penses-tu le grandir en étant comme une morgue,

    La voix, et les gestes ne sont-ils pas crées, afin d'être aimé, et plaire à l'être aimée.

     

    Ne détruis pas l'amour par des actes égoïstes,

    Qui peuvent te faire connaitre une vie morne, et triste,

    L'amour de soi peut faire souffrir toute la vie, mais L'amour partagé réjouit, et épanouit.

     

    Respectueusement. Zéphy.

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  • Dans les yeux d'une poète amateur.

     

    La poète amateur est une âme, où l'on verse des fleurs,

    Mais parfois son cœur saigne aux coups de l'infortune,

    Elle lui arrive alors de verser quelques pleurs,

    Avant de s'éclipser sur un rayon de lune.

     

    La poète à le cœur accroché aux étoiles,

    Elle est, dans l'empyrée, en espace connu,

    Elle peut au fil des mots se fondre dans ses voiles,

    Satellite doré, il n'est jamais perdu.

     

    La poète est un astre au-dessus de nos têtes,

    D'où elle lance ses mots que nous n'entendons pas,

    Trop absorbés alors par nos diverses quêtes,

    De l'argent, de l'amour que nous ne trouvons pas.

     

    La poète à les yeux qui s'égarent là-haut,

    Sur un nuage, elle dort, au soleil elle s'éveille,

    Sur le rayon de lune elle inscrit tous ses maux,

    Elle sait tous les endroits, où le chagrin sommeille.

     

    La poète est rêveuse, et nous dit de sa plume,

    Que tous les sentiments doivent être vécus,

    Que toutes les senteurs, les odeurs que l'on hume,

    Apportent à nos jours des plaisirs absolus.

     

    La poète nous dit ce qu'on devrait savoir,

    Que la vie est bien courte, et qu'il est temps d'aimer,

    Avant que, de la mort, on passe en son pressoir,

    Aimons-nous donc, ma belle, et cessons de pleurer.

     

    Respectueusement. Zéphy

     

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  • Compose-moi l'amitié, mon amie sacrée.

     

    Quand je regarde tes yeux, j'y vois l'univers de l'amitié,

    En ton sourire éblouissant de sagesse, j'y vois la passion de la vie,

    Compose-moi la tendresse mon amie, l'ivresse de tes phrases,

    Brodées de tes mots fleuris de sagesse, sous un ciel de pluie, perlés de larmes d'amitié, et d'émotions qui ne peuvent mentir tes sentiments généreux de tendresse.

     

    Lorsque j'écoute ta voix si douce, tendre, et chaleureuse,

    Mon âme devient joyeuse débordante d'amitié sincère pour toi,

    Tu as tant d'amitié pour moi, aux fruits de ta passion sur ce site,

    Je deviens frissons, une caresse satinée sur ton clavier devient un océan de poissons ailés comme les anges du bonheur.

     

    Lorsque tu poses tes mains de velours en murmures sur les touches nacrés,

    Naît la romance en ton fort intérieur, et tes messages enfiévrés d'amitiés,

    Je veux mourir sur les lèvres de ces murmures avec pudeur, d'ardents écrits de sagesse, tu m'offres d'agiles accords à nos insolents pouvoirs d'amitié sans lendemains.

     

    Lorsque s'exprime ton cœur, il y a une douce pluie au creux de tes paupières harmonieuses aux supplices de ton amie,

    De ton regard éblouissant de vérités sensibles, ta voix est envahie d'émotions, graduées de perfections, ardentes d'amitié sincère, et sur le sentier de la passion t'habite tendrement des sentiments pudiques d'amour d'autrui, ainsi que de vagues poésies profondes de tendresse à partager à notre bonheur amical.

     

    Quand nos messages se marient, compose-moi la tendresse, la sagesse,

    En bouquet de bonsoirs satinées, qui parfumes mes jours clandestins en jours sereins, ton cœur contient le mien, serre-moi fort dans tes émois amicaux,  

    Ci-cela est notre destin, rejoint mes pas dans mon jardin d'allégresse.

    Spécialement pour toi ma sœur de cœur.

     

    Respectueusement à toi Zéphy.

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  • L'amitié éternelle.

     

    Si tu m'aimes comme je t'admire,

    comme le porte, et mes yeux, et mon regard envers toi,

    si tu penses la même chose que moi,

    nous pourrions former à nous deux une amitié éternelle,

    tellement éternelle que même le monde ne pourrait pas exploser au moment de son heure.

     

    Les pendules s'arrêteraient pour ne plus que l'ont vieillissent,

    Les oiseaux ne pourraient plus chanter tellement notre amitié serait grande,

    plus personne pourraient crier quand on se parlerait,

    le soleil tomberai pour bruler ce qui dérange,

    la mer dépasserai le monde, et la lune pour ceux qui meurs de soifs,

    mon cœur, et ton cœur rempliraient l'univers d'une amitié insolente, et pure,

    gentille, éternelle, grande, belle, soyeuse, éblouissante de tendresse.

     

    Plus grande encore que l'univers, car tu es sagesse, ta grâce qualifie ton sourire,

    et au plus profond de moi, ou se n'est jamais la fin, tu te noieras dans mon jardin d'éden.

     

    Je te lancerai des mots langoureux, et te protégerai toujours,

    Je cherche dans mes bouquins une de tes photos,

    mais cela ne sont que des paroles, des écrits éblouis par ton charme de femme,

    qui restent vraies, et gravées à jamais dans mon cœur,

    comme des phrases éternelles.

     

    Respectueusement,  Zéphy.

     

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