• Au-delà des  murmures  sensuelles

     

    Je sens de ton souffle le frémissement, effluve flirtant en toute indécence, sur le cou en effervescence, une légère aère, une brise d'air, et un indécent attouchement, je voyage en train, et sans billet, à l'oreille distraite, qu'aucun son ne chatouille, je murmure tous mes atroces chagrins, et toutes mes futures défaites.

     

    Je multiplie les appels de phares, et les pincements subtils du pied, je me prends subitement au jeu, de l'envie folle, et de cette folle envie, ce matin, qui au fond de moi-même, impétueux, et prétentieux, et tout câlin, à chaque touche légère surgit,    

    je susurre à ton oreille, quelques bribes de mots, dans l'éther élevé, et pur, retranscris en morsures de passion, que je promène presque nus, presque mûres sans façon.

     

    Sur les allées ouvertes de ta nuque, le long de ce dos huilé qui luit, poli par ma tendresse en abondance, ruisselle comme un ru, par mes doigts ému en souffrance, sillonnant tes traces , et les courbures, ne finissent jamais, fleur rare, et abandonnée, au soleil orangé de notre désir, éparpillées pêle-mêle, sur des dunes enneigées, nos amours, en pleine saison de récoltes, d'une exaltation en furie.

     

    Le murmure se perd encore, et encore, aux confins de nos silences, perlant , et parlant, quand de mes yeux mouillés, tu suces le suc de ma semence, et le jus qui en jaillit, le sel te pénètre en contrefort, et ton regard s'enhardit, et d'un geste tout confort, le murmure cesse de végéter, mon bonheur entier se déverse, en une lumière de giclée, cet instant, ça m'excite tant, et doucement, tu m'as ouvert ton monde intemporel, par un « je t'aime » Au-delà des  murmures  sensuelles du paradis.

     

    Respectueusement. Zéphy.

    Avec toute ma tendresse affectueuse, et ma grande sagesse amicale.

     

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  • Caresses d'Amour.

     

    Mes mains se posent sur tes hanches, descendent la fermeture éclaire de ta jupe, que tu fais glisser le long de tes longues jambes.

     

    Mes doigts font crisser la soie de tes bas de soie noire, cette sensation de douceur te fait frémir, trembler, désirer, mes mains caressent tes cheveux, lissant entre mes doigts pressant,

     

    Tu attires mon dos sur ta poitrine, tendrement comme une enfant, te susurrant à l'oreille des mots sucrés.

     

    Je t'étends sur notre lit, te couvrant de moi, mon regard noisette plein de désirs,

    Mes caresses se font puissantes, mes mains, ma bouche, ma chair, mon être, prennent possession de ton corps.

     

    Cherchant dans la couleur de tes yeux, mon miroir, reflet de ton âme,

    pénétrant au cœur de ton Éden, là où je m'extase de tes désirs, mon corps se met en mouvement pour ton plaisir.

     

    Mes coups de reins profonds te font gémir, je t'emporte-toi, où les étoiles étincelles,

    où la jouissance fait deux, je suis à toi, et rien que pour toi.

     

    Respectueusement. Zéphy.

     

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  • Ma maitresse perverse ,

     j'aime ton corps de femme légère de petite vertus, dès la nuit tombée jusqu'au lever du jour, je souhaiterais l'avoir tout contre moi, ton corps de velours pour toujours, pour embrasser tes seins, sucer les mamelons comme tu aimes surtout quand les boutons sont durcis , j'aime ta croupe bien poilue ,j'aimerais y poser ma bouche tous les soirs afin d'y déposés de merveilleux baisers d'amours sur ton pubis, ton calice d'amour est très humide ,et aimes que je le sèche avec ma langue je le devine dans le noir, satiné, emblème de mes nuits sensuelles exaltées de désirs, soupirs, souffrance, et jouissance incontrôlés par nos corps insatiables de voluptés savourées, je caresse ton fessier, et a ta demande ,je te sodomise tu adore que je suce ton anus, je te lèche l'anus pour l'humidifié afin de le pénétré doucement, et en augmentant la dance du vas, et viens, çà 'y est mon gland est entré je pouce et tes cris se font entendre, je vais de plus en plus profond, tu caresse ton clitoris pour calmer la douleur dans le plaisir.-, jour je veux jouir dans ton rectum, c'est tellement bon tu sais, je me retire après avoir jouis, amis tu en veux encore, alors tu me suce ,et tu la prend toute en bouche afin de me faire bander comme un chien, qui vas te re- pénétrer à l'avant cette fois, ta chatte est brulante au bord de l'extase.

     

    Mon amour virtuel, j'aime ton corps de braise, lorsqu'il s'enflamme, et bouge sans cesses, j'envisage de m'en occuper au fil du temps, ta peau satinée de braise si brûlante, mais combien complaisant à mes caresses, mes baisers torrides, sur tes seins enflammées de désirs charnelle, je les suces, es mordilles avec , enflammés de tendresse, mes mains glissent doucement sur cette peau fragile, et mes doigts qui se faufiles dans ton vagin et de découvrir ton clitoris dur, et droit, il est fier que je  le suce également de découvrirent tes contours intérieurs de ton corridor d'amour avant que je ne le pénètre avec force ,avec délicatesse, et sans pudeur sur ce corps de platine en pleine ivresse de voluptés avouées, tu murmures des cris quand tu jouis dans une extase arrive, je me retire ,et je bois a ton calice ce délicieux liquide encore chaud.

    Ma maitresse virtuelle, j'aime ta peau dorée, lorsque le soleil taquine ta douce peau dénudée, je souhaiterais y déposer un regard d'une éternelle sensualité, ton corps gorgé de rayons de soleil, bercé par la douceur du vent du sud et, les gables de ta gracieuse, et, éblouissante poitrine sublimée par la douceur de sable fin de cette plage aphrodisiaque, emplisses mes paupières d'une eau salée, et je dois mettre des lunettes de soleil, pas pour le soleil, mais pour tes yeux qui m'éblouisse ce qui me donne des larmes d'amour, et de bonheur, et tu en profite pour me sucer le gland en pleine effervescence, tu me fais bander à mourir, tu le tient bien dans ta bouche , et tu le vas ,et viens dans ta gorge profonde tu aimes la queue des hommes pour qu'ils jouisse sur tes seins et dans ta bouche, et tu avale avec plaisir.

     

    Mon icone virtuelle, j'aime ton corps sucré de plaisirs inavoués, mélange d'essences intimes, et de désirs que je suis seul à savouré avec une telle délicatesse, que tu ne peu résistée à cette magie qu'est l'amour virtuel, et si nous décidions soudain de partir, ton corps sucré, j'en veux à satiété, même Aphrodite déesse de l'amour qui vois dans les cieux ta beauté, ne peu que baissée ses paupières fragilisée par ta sublime élégance de femme, ta peau de satin, immerge de douceur avec une grâce inimaginable, ma faiblesse masculine devant ce torrent dédicacé d' une gracieuse tendresse, onctueuse fait pour notre amour incandescent ,de nouveau ,je jouis dans ton calice, et cela coule sur tes fesses, et masse tes seins avec mon sperme, cela t'existe encore plus, moi je glisse un doigt dans ton anus et tu approuve ,tu aimes te faire enculer avec force ,ce mastodonte qui te déchire l'anus, le mal, la douleur ,te donne du plaisir ,a n'en plus finir, tu demandes Grace, mais je ne peux m'arrêter,je suis trop exciter de voire jouir, et encore jouir, nos draps blancs sont devenus des éponges tellement ils sont remplis de ma semence et de ton calice qui coule à flot.

     

    Ma chérie d'amour, j'aime ton corps parfait, la noblesse de ton corps m'honore, me déstabilise par ta chair d'une suprême douceur ,et d'une élégance, qui tue mon jardin d'émotions sensuelles à son touché velouté, quand tu te promènes altière ta nudité, jusqu'aux rivages ensoleillés de la mer, sirène offrant son buste aux éléments si fiers, mon élégante petite fée d'amour , j'aime ton corps, et ton âme, lorsque je prends ton visage entre mes mains, je sens un souffle d'une sensualité qui accouche d'une passion incommensurable.

       

    Respectueusement. Zéphy  

     

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  • La femme parfaite n'existe-t-elle ? La maitresse parfaite existe « oui ».

     

    La chair douce sous ta longue robe cache un calice tendre, un corsage qui incendies mes paupières, tes dessous qui m'asphyxie le regard, tes belles jarretelles et le porte jarretelles me font agonisée de plaisirs, tes beaux cheveux d'une couleur cuivrée illuminent tes beaux seins, tes lèvres sensuelles irradie ta bouche en satin rosée, absorbe mon gland torrides, tes yeux sublime accentue ma vision de ta beauté nue de femme, seulement tes cheveux révèlent une oreille un teint bronzé,

    tes yeux bleux me défient, j'ai lu dans le blanc de tes yeux, et je me méfie de mes réactions masculines à ton égard, je suis ton seul amante.

    Du  haut de ta bouche affriolante, aromatisées tes dents blanches, laisse une charmante voix, le visage à peine aligné avec taches de rousseur légères arrondies, ta sublime, et jolie peau satiné de rose, soyeuse comme du velours reflète la beauté de ton âme, tes  petites mains gracieuses derrière le dos, pour découvrir tes armes redoutables ta miraculeuse machine d'amour, je baisse la tête et vois tes jolis pieds peints avec un joli placage qui me fait rêver, de nouveau, je lève les yeux et constate que tes jolies jambes embrase mon esprit, et continuant mon voyage sur ton corps entièrement sensuel, c'est un très beau continent, sur ta jolie robe  de satin à fleurs, de mes yeux je te déshabille avec élégance, et respect que l'on doit à une femme telle que toi.

    Se découvre alors un coffre nacré, tes deux sublimes seins qui oses timidement se pointer vers mon visage ébahis par leurs douceur, ta peau de satin intensifie mes sens masculines, ton ravissant corps ressemble à une fontaine de jouvence, ou se baigne ton corps dénudé.

    Tu fais le désespoir de tous les peintres qui peuvent te peindre avec leurs pinceaux gravé or, leurs mains trembles devant ce doux corps sensuel, tes seins rosés amplifie leurs envies de toucher cette chair audacieusement attirante, et submerge leurs esprit de peintre en rêves d'amants, une rose en bas juste près des bas, et une la haut près des deux collines, et un œil formant ton nombril cercle rond que l'on confond suivis de deux route menant au Paradis, et une rivière comme l'ont dit «  Apollinaire, Rimbaud, Baudelaire, la Fontaine »

    Très amoureusement, ton amante de cœur qui te baise comme une amazone en furie des baisers succulents à toi ma sublime machine d'amour, corps d'Amour, ma maitresse nacré de tendresse, ma sagesse humaine, dans ton  écrin de jouissance, je t'envoie une fontaine de giclée de spermatozoïdes de couleurs blanchâtre , et torride démente tu ouvres la bouche comme une professionnelle du sexe afin d'engorger une pleine giclée de mon sperme que tu acceptes, de vider dans ta gorge profonde pour moi, mon gland y rentre entièrement coupant ta respiration, tu fais l'amour comme une vraie petite salope droguée par le sexe ton amant dans ton jardin d'éden le plus charmant, le plus étincelant d'envies masculines que je connaisse.

     

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  •  Je veux ta peau

     

    Je veux ta peau contre la mienne, je veux ta peau au goût du miel,

     je veux ta peau, et ton hymen, je veux ta peau au septième ciel,

    je veux tant me sentir en toi, mon sublime écrin d'amour, jusqu'à ce que tu viennes, je veux goûter à tes seins brulants, veux ta peau, et tes veines, je veux la peau de cette amazone qui sublime le sexe, et raffoles de mes exploits sexuels, c'est une nymphomane d'amour extrêmement pervertie pour son amant.

     

    Je veux sa peau qui m'emmène, dans les cieux comme une femelle déchainée,

    je veux ta peau satinée sans haine, je veux la peau de cette sirène obsédée du sexe,

    je veux la peau de cette perle, je veux sa peau, et son, magistrales entre-jambes,

    Je veux la peau de cette douceur, je veux sa peau rien qu'un soir toute satinée comme un arc-en-ciel , lui faire l'amour afin qu'elle jouisse de mes élans masculins.

     

    Je veux sa peau, son beau corps, rien qu'elle, pour moi, je veux sa peau de velours nommée amour, je veux sa peau nommée noblesse, je veux ses yeux nommés pervers, je veux sa peau nommée ivresse, je veux sa peau nommée désirs interdits.

    Je veux sa bouche nommée plaisirs, je veux sa peau nommée désirs, je veux son corps nommé plaisirs charnelle, je veux sa peau nommée sans pudeur, je veux son humeur nommée baisée, je veux sa peau nommé jouissance, je veux cette princesse qui caresses, je veux sa peau nommée tigresse, je veux cette femme nommée simplement maitresse.

     

    Respectueusement. Zéphy.

    Avec toute ma tendresse affectueuse et ma sagesse amicale.

    Ton amante virtuel.


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