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le mélange de nous
le mélange de nous
De ces plaisirs sacrés de douceur, tes ongles griffes mon dos, et ma souffrance accentue mes vas, et viens, devient dans ce torrents que l'on appelle chutes des reins.
Plus rien, ni personnes, ne peut venir au secours de tes cris, qui se brisent au-delà des océans d'amour, tu es la tempête qui se déchaine, et provoques des vagues d'émois, une pluie battante érafles tes joues de soie, tes seins englués dans mes baisers tonifiant ton corps d'envies charnelles.
j'aimes sucer tes tètons durcis, agresser ton fessier et le mordiller, car la douleur accentue le plaisir,j'aime aspirer te longer ma langue sur ton clitoris en fusion,doit,et fière je l'aspire pour que ta puissance augmente sans cesse, ton humidité vaginale coule dans ma bouche, et toi ,tu prends mon gland, tu le suce avec ta langue, et tu mord mon gland gonflé a blanc également jusque la liqueur blanche coule le long de tes seins, et une partie dans ta gorge, telle une nymphomane en chaleur.
Couchés, l'un contre l'autre sur ce lit de drap blanc satiné avec des pétales de roses rouges, ta chaire est douce comme ces pétales de rose, ton corps trembles déjà en se collant au mien, tes mamelons durcisses au toucher de mes doigts frivole
nos corps nus se raffolent de vivre cet instant,ta tête sur ma poitrine, tes lèvres posées sur moi,tu ressens mes soupirs, tu sens mon cœur qui bat,mon bras sur ton épaule ma main posées sur toi,mes doigts t'effleurent à peine tes seins de velours, et tu frémis déjà, ta douce main me caresse, tes ongles me menaces, ton corps se fait plus souple, et d'une jambe tu m'enlaces, d'une infinie tendresse de celle qui ensorcelle, ma main roule sur toi, sur ton corps qui m'appelle vient adoucir ma souffrance d'attendre nos ébats.
Tu te fais plus pressente, tes seins pointes sur moi,je caresse tes cheveux, et te dis aime moi, comme seule toi sait le faire, avec douceur, sagesse, et tendresse, et noblesse, tu relèves la tête tes yeux parlent l'amour insolent, nos deux corps devienne silence, d'un baiser langoureux débute nos ébats d'amour, ton regard deviens supplice, tu dédicaces enfin des voyelles, tes lèvres tremblent de désirs alloue mon corps de mes baisers humides vus le mélange de nos langues.
Ta flagrance déshabillée de sa pudeur, m'entraine dans cette essence de plaisirs, mes yeux sont sacrifiés, je ne vois plus ton corps, mon âme m'oppresse, tes mains deviennes pétales de rose, douceurs, tu arrives au sommet du possible, tu ne peux résister, tes paupières se fermes, tu vas finir sur l'échafaud de la jouissance, tu vas rendre les armes, ton corps est en feu, tu me supplie, viens-viens, dans un dernier cri, tu lâche dans un tourbillon de plaisirs, tu me crie un dernier suffocant « je t'aime »tes sens sont en pleins délires.
Avec toute ma tendresse amour, Je t'embrasse avec un doux baiser précieux à mes yeux.
Qui dira un je t'aime à ton cœur de nymphomane car tu vis pour le sexe, et le sexe est devenu ta drogue de jour, et de nuit.
Ton pubis et tous plaquer de sperme également, et tu me demande de le laver avec ma langue afin d'en récupérer un petite partie au dernier baiser. Ton médicament pour dormir.
Respectueusement Zéphy
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les écris sont de moi , merci de me prévenir si vous en avez utilité
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