• De ces plaisirs sacrés de douceur, tes ongles griffes mon dos, et ma souffrance accentue mes vas, et viens, devient dans ce torrents que l'on appelle chutes des reins.

    Plus rien, ni personnes, ne peut venir au secours de tes cris, qui se brisent au-delà des océans d'amour, tu es la tempête qui se déchaine, et provoques des vagues d'émois, une pluie battante érafles tes joues de soie, tes seins englués dans mes baisers tonifiant ton corps d'envies charnelles.

    Couchés, l'un contre l'autre sur ce lit de drap blanc satiné avec des pétales de roses rouges, ta chaire est douce comme ces pétales de rose, ton corps trembles déjà en se collant au mien, tes mamelons durcisses au toucher de mes doigts frivole

    nos corps nus se raffolent de vivre cet instant,

    ta tête sur ma poitrine, tes lèvres posées sur moi,

    tu ressens mes soupirs, tu sens mon cœur qui bat,

    mon bras sur ton épaule ma main posées sur toi,

    mes doigts t'effleurent à peine tes seins de velours, et tu frémis déjà, ta douce main me caresse, tes ongles me menaces, ton corps se fait plus souple, et d'une jambe tu m'enlaces, d'une infinie tendresse de celle qui ensorcelle, ma main roule sur toi, sur ton corps qui m'appelle vient adoucir ma souffrance d'attendre nos ébats.

     

    Tu te fais plus pressente, tes seins pointes sur moi,

    je caresse tes cheveux, et te dis aime moi, comme seule toi sait le faire, avec douceur, sagesse, et tendresse, et  noblesse, tu relèves la tête tes yeux parlent l'amour insolent, nos deux corps devienne silence, d'un baiser langoureux débute nos ébats d'amour, ton regard deviens supplice, tu dédicaces enfin des voyelles, tes lèvres tremblent de désirs alloue mon corps de mes baisers humides vus le mélange de nos langues.

    Ta flagrance déshabillée de sa pudeur, m'entraine dans cette essence de plaisirs, mes yeux sont sacrifiés, je ne vois plus ton corps, mon âme m'oppresse, tes mains deviennes pétales de rose, douceurs, tu arrives au sommet du possible, tu ne peux résister, tes paupières se fermes, tu vas finir sur l'échafaud de la jouissance, tu vas rendre les armes, ton corps est en feu, tu me supplie, viens-viens, dans un dernier cri, tu lâche dans un tourbillon de plaisirs, tu me crie un dernier suffocant « je t'aime »tes sens sont en pleins délires.

     

    Avec toute ma tendresse amoureuse.

    Ton amie de cœur.Zéphy.

    Ma belle amie, je sais que je suis plus amoureuse  que toi, tu es l'étoile qui éclaire mes nuit seule, je ne dors plus mes nuit sont hantées par le pouvoir de ta sublimes beauté, cela me fais mal au cœur de te savoir si loin, ma solitude, écrases mes problèmes, car même loin de moi, moi je sais que je t'aime d'un amour plus dur que la pierre.

    Ma princesse d'amour, je te souhaite une soirée des plus agréables possibles, spécialement élégante dans ta tenue de satin-velours.

    Je t'embrasse avec un doux baiser précieux à mes yeux,

    Qui dira un je t'aime à ton cœur d'or. 

     

    ****

    les écris sont de moi , merci de me prévenir si vous en avez utilité


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  • Pas encore amants 

     

    Pas encore amants, mais déjà un peu complices, car sa main à lui le long de sa joue se glisse, son front à elle, sous la caresse, se plisse,  

    et leurs regards se croisent en un jeu de malice, pas encore amants, mais cela arrivera, car sa main effleure la courbe de son cou dégagé par ses baisers de feu, et elle penche la tête comme une femme décoiffée de désirs, comme si elle prenait son bain de jouvence,

    ronronnant de plaisir sous un geste si doux, elle ne peut résistée à ce embrasement féérique, et qui agonise de plaisir sous les clameurs érotique de son amant.

     

    Pas encore amants mais sa main descend un peu, lentement,

    et pousse le tissu en dénudant l'épaule si douce du regard,

    et si ses yeux pouvaient, ils deviendraient plus bleus,

    pour inspirer ces doigts qui l'enjôlent, et la frôlent avec délicatesse,

    Pas encore amants, mais le sein à peine atteint, ses mains tremblent,

    elle soupire, et espère en l'homme qui va la prendre inopinément,

    et pour qu'il le sache, elle le serre, et l'étreint contre ses reins très courbés, très fort, de ses bras frêles, avides, et elle se sent frissonnante d'envies.

     

    Pas vraiment amants, mais les hanches embrasées de désirs,

    palpitent, et attendent l'instant  fatidique d'êtres chevauchées,

    et lui le sent, et bien qu'un peu embarrassé, mais tellement charmé,

    lui enlève le bas de ses dessous affriolants d'une ardeur empressé car trop excité par sa toison d'or, sous un string transparent, et tellement doucereux à regarder, son corps ne répond plus de lui, il est en transe d'amour.

     

    Pas tout à fait amants, mais les deux enlacés, sur un lit allongés de promesses charnelles, découvrent que leurs cuisses aux contours élancées, sont heureuses après tout de s'être abandonnées avec hardiesse, délicatement avec douceurs, et saveurs, leurs jambes entrecroisées, sont heureuses après tout de s'être abandonnées au plaisir de la chair, et voici deux amants pour au moins cette nuit,

    qui ont fait le parcours du cycle de la vie, lui  n'a pas eu peur, et elle n'a pas fuit devant ces jeux interdits, partageant le plaisir des désirs assouvis.

     

     les écris sont de moi , merci de me prévenir si vous en avez utilité .

    Avec toute ma tendresse affectueuse, mon élégante sagesse amicale.

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