• Ton amant virtuel.

     

    J'ai envie de te faire l'amour, lentement, et en plein jour, sentir le frisson d'une peau, me dévêtir de mes oripeaux, j'ai envie de te faire l'amour, de toucher la vie à rebours, embrasser des lèvres chaudes, coulante comme le courant de l'Aude.

     

    J'ai peur tu sais, j'ai froid aussi c'est vrai, peur de m'être tromper de rêve, peur d'avoir ouvert, le grand livre à l'envers, chaque jour qui s'achève, me laisse un gout de cendre, peur que tu aie envie de descendre.

     

    J'ai envie de te faire l'amour, sans trompette ni tambour, j'ai envie d'être vivant, de sentir battre mon sang, j'ai envie de te faire l'amour, comme si c'était le dernier jour, sentir la vie qui coule en toi, respirer le feu de nos émois.

     

    J'ai peur tu sais, que cela n'arrive jamais, peur d'être ce qui déplait, j'ai froid tu sais, j'ai envie de te faire l'amour comme si c'était le grand jour, je te déshabille lentement avec finesse, je décrêpe ton corsage pour laisser apparaitre tes seins déjà durcis, de suite je les embrasse, je les masse tendrement, et j'effleure les mamelons si sensible au toucher, je décent lentement pour aller dégainer tes belles et belles jarretelles ,tu ne portes pas de string, ni de petite culotte, ton calice est a l'air libres, je caresse ton mont de vénus bien poilu, ta chatte est déjà humidifié par mes caresses, ton clitoris s'éveille aussi, fier comme Artaban ,je le suce de la pointe de ma langue, il adore, ton corps tremble d'envie, et le miens aussi, pendant ce temps tu as pris ma verge, et tu as commencé à me branler doucement, elle grossit de plus en plus, tu la prend dans ta bouche et délicieusement tu joues le jeu du vas ,et viens, forts excités tous les deux, je décide de te pénétrer comme une amazone, tes cris sont la seule musique de la pièce, tu vas de plus en plus vite, car tu vas avoir ton orgasme, tu vas jouir sans retenue, et moi je vais te suivre ,mon sperme blanc vas blanchir tes seins et tu la reprend en bouche afin de ne pas perdre une goute.

     

    Mais tu n'en a pas encore assez, et tu recommence à me branler la verge pour que je puisse te pénétrée une deuxième fois.

     Tu aimes faire l'amour, sans pudeur aucunes, tu es une vraie nymphomane du sexe, j'aime quand tu joues la salope avec moi, je jouis plus fort, et plus souvent, pour être sur que je rebande tu te caresses les tètons de tes seins, et tu écartes les jambes que je puisse te regarder te masturber ton clitoris.

    Nos corps sont repus et fatigués, il se repose après cette nuit  blanche, et pour mieux recommencer demain.

    Un dernier baiser avant de s'endormir mon corps sur ton Corps.

    Ton amant virtuel.

     

    Respectueusement. Zéphy.

     

    ****

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  • Ma beauté virtuel

     

    Mon amie  , j'aime ton corps de velours, dès la nuit tombée jusqu'au lever du jour, je souhaiterais l'avoir tout contre moi, ton corps de velours pour toujours, pour embrasser tes seins, sucer les mamelons comme tu aimes surtout quand les boutons sont durcis , j'aime ta croupe bien poilue ,j'aimerais y poser ma bouche tous les soirs afin d'y déposés de merveilleux baisers d'amours sur ton pubis, ton calice d'amour est très humide ,et aimes que je le sèche avec ma langue,je le devine dans le noir, satiné, emblème de mes nuits sensuelles exaltées de désirs, soupirs, souffrance, et jouissance incontrôlés par nos corps insatiables de voluptés savourées, je caresse ton fessier, et a ta demande ,je te sodomise tu adore que je suce ton anus.

     

    Mon amour virtuel, j'aime ton corps de braise, lorsqu'il s'enflamme, et bouge sans cesses, j'envisage de m'en occuper au fil du temps, ta peau satinée de braise si brûlante, mais combien complaisant à mes caresses, mes baisers torrides, enflammés de tendresse, mes mains glissent doucement sur cette peau fragile, et mes doigts qui se faufiles dans ton vagin et de découvrir ton clitoris dur, et droit, il est fier que je  le suce également de découvrirent tes contours intérieurs de ton corridor d'amour ,avant que je ne le pénètre avec force ,avec délicatesse sur ce corps de platine en pleine ivresse de voluptés avouées, tu murmures des cris quand tu jouis dans une extase arrive, je me retire ,et je bois a ton calice ce délicieux liquide encore chaud.

     

     

    Ma maitresse virtuelle, j'aime ta peau dorée, lorsque le soleil taquine ta douce peau dénudée, je souhaiterais y déposer un regard d'une éternelle sensualité, ton corps gorgé de rayons de soleil, bercé par la douceur du vent du sud et, les gables de ta gracieuse, et, éblouissante poitrine sublimée par la douceur de sable fin de cette plage aphrodisiaque, emplisses mes paupières d'une eau salée, et je dois mettre des lunettes de soleil, pas pour le soleil, mais pour  tes yeux qui m'éblouisse ce qui me donne des larmes d'amour, et de bonheur, et tu en profite pour me sucer le gland en pleine effervescence, tu me fais bander à mourir, tu le tient bien dans ta bouche , et tu le vas ,et viens dans ta gorge profonde tu aimes la queue des hommes pour qu'ils jouisse sur tes seins et dans ta bouche, et tu avale avec plaisir.

     

    Mon icone virtuelle, j'aime ton corps sucré de plaisirs inavoués, mélange d'essences intimes, et de désirs que je suis seul à savouré avec une telle délicatesse, que tu ne peu résistée à cette magie qu'est l'amour virtuel, et si nous décidions soudain de partir, ton corps sucré, j'en veux à satiété, même Aphrodite déesse de l'amour qui vois dans les cieux ta beauté, ne peu que baissée ses paupières fragilisée par ta sublime élégance de femme, ta peau de satin, immerge de douceur avec une grâce inimaginable, ma faiblesse masculine devant ce torrent dédicacé d' une gracieuse tendresse, onctueuse  fait pour notre amour incandescent ,de nouveau ,je jouis dans ton calice, et cela coule sur tes fesses, et masse tes seins avec mon sperme, cela t'existe encore plus, moi je glisse un doigt dans ton anus et tu approuve ,tu aimes te faire enculer avec force ,ce mastodonte qui te déchire l'anus, le mal, la douleur  te donne du plaisir ,a n'en plus finir.

    Ma chérie d'amour, j'aime ton corps parfait, la noblesse de ton corps m'honore, me déstabilise par ta chair d'une suprême douceur ,et d'une élégance, qui tue mon jardin d'émotions sensuelles à son touché velouté, quand tu te promènes altière ta nudité, jusqu'aux rivages ensoleillés de la mer, sirène offrant son buste aux éléments si fiers, mon élégante petite fée d'amour , j'aime ton corps, et ton âme, lorsque je prends ton visage entre mes mains, je sens un souffle d'une sensualité qui accouche d'une passion de toi  est incommensurable.

     

    Amoureusement. Zéphy.

    Avec toute ma tendresse amoureuse unique en son genre « très gracieuse »

    Je te souhaite un début de semaine  qui te fera aller jusqu'à ton jardin d'allégresse, te faire masser dans ta piscine bleutée afin de jouir des plaisirs de la vie.

    Moi Zéphy qui ne sait pas cesser de rêver de ta splendide beauté de femme, de ton corps de satin, la douceur de peau qui me donne des frissons, ton sourire  très séduisant, et aguichant de sagesse. 

    Je t'embrasse avec volupté, que nos langues se mélangent, à ne plus se séparées.

     

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  • Envie pervers

     

    Baise-moi, prends mon corps, mon âme mon sexe t'appartient, 

    Masturbe moi comme une chienne en chaleur, tu es ma drogue sexuelle

    Cambre ta croupe offerte à l'envie, mes désirs,

    D'infinis abandons sur l'axe des plaisirs,

    Je te pénètre-toi, converge, admire  mon va-et-vient.

    Je te défonce au plus profond de toi  mon  gland me fais mal de bander chaque fois que je te vois, ton corridor d'amour est plein de ma liqueur blanchâtre, tu vis orgasme sur orgasme, ta jouissance est sans limite, ton clitoris demande pardon, il est rouge vif ,mes vas et vient sont incessant, ta boisson préférée devient mon sperme chaud, cela dégouline de ta chatte en chaleur obsession ouverte sur tes gouffres,

    Je te suis ton maitre d'amour, je veux que quand tu es seule chez toi, tu sois sans dessous que tu sois nue ,que tu vive libre, baise-moi, renonce à la maîtrise,

    Sois femelle primale, ainsi je t'aurai prise comme une trainée, ton sexe appelle mon sexe nous-nous ressemblons tous les deux, quand je saurai que tu te promène nue chez-toi tu me dira l'heure, et nous-nous masturberons  tous les deux et nous jouirons à distance

    À la pudeur absurde aux amours dont je souffre.

     

    Vois-j'investis ton ventre éclos entre tes cuisses,

    Baise-moi impudique, étonnement phallique,

    Viens zébrer cet éclair des charges électriques,

    Des rigidités mues, au point que je ne puisse.

     

    Vois, je prodigue en toi fouteuse lactescence,

    Languide humidité, conversion de la chair,

    Qui se ravit à l'âme; elle cherche à défaire,

    La noce primitive où nous serions essence.

    Ton amant qui dévore ton corps satiné d'une peau brulante qui assainie mes désirs les plus pervers.

     

    Respectueusement. Zéphy.


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  • Dans tous ses fantasmes.

     

    Attache moi pieds, et poings, avec tes bas de soie nacré de noir, immobilise moi, sort tes griffes aiguisées, afin que je sois aussi sage qu'un ange sacrifié, bâillonne moi pour que de ma bouche ne sorte aucuns cris, et regarde moi souffrir en silence, tout mon corps est en transe, et sous ta domination, mon cœur bat la chamade à vouloir sortir de ma poitrine meurtrie.

    Mène donc la danse en me faisant languir, arrache ma chemise de soie blanche, et griffe moi jusqu'au sang, je suis en extase, mes yeux t'implorent d'accélérer le mouvement, la nuit sera chaude, longue à n'en plus finir, l'implosion de tes sens, décline tes envies dominatrice, et tes plaisirs inavoués.

    Je te fais don de mon corps, moi ton ange d'amour, ton esclave d'une nuit, j'accepte toutes tes remontrances, et sacrifices sans un seul cri, cette punition est mon exutoire macabre comme un baiser de mort, mais cette mort venant de devient une jouissance sécrétée d'amour.

    Pour mieux savourer ce sacrifice, exécute moi fougueusement ma beauté de nuit,

    n'arrête pas ce va et vient exténuant de toute la soirée, jusqu'à ce que j'expire sous le poids du vice, unis dans le plaisir, et dans la jouissance extrême,

    libéré de mes liens ma voix haletante, je te lâche un je t'aime, toi ma tigresse, ma fontaine de jouvence, mon élixir d'amour indompté.

    dans tous ses fantasmes.

    Respectueusement. Zéphy.

    Avec toute ma tendresse affectueuse, et ma talentueuse sagesse amicale.

     

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  • le mélange de nous 

     

    De ces plaisirs sacrés de douceur, tes ongles griffes mon dos, et ma souffrance accentue mes vas, et viens, devient dans ce torrents que l'on appelle chutes des reins.

    Plus rien, ni personnes, ne peut venir au secours de tes cris, qui se brisent au-delà des océans d'amour, tu es la tempête qui se déchaine, et provoques des vagues d'émois, une pluie battante érafles tes joues de soie, tes seins englués dans mes baisers tonifiant ton corps d'envies charnelles.

    j'aimes sucer tes tètons durcis, agresser ton fessier et le mordiller, car la douleur accentue le plaisir,j'aime aspirer te longer ma langue sur ton clitoris en fusion,doit,et fière je l'aspire pour que ta puissance augmente sans cesse, ton humidité vaginale coule dans ma bouche, et toi ,tu prends mon gland, tu le suce avec ta langue, et tu  mord mon gland gonflé a blanc également  jusque la liqueur blanche coule le long de tes seins, et une partie dans ta gorge, telle une nymphomane en chaleur.

    Couchés, l'un contre l'autre sur ce lit de drap blanc satiné avec des pétales de roses rouges, ta chaire est douce comme ces pétales de rose, ton corps trembles déjà en se collant au mien, tes mamelons durcisses au toucher de mes doigts frivole

    nos corps nus se raffolent de vivre cet instant,ta tête sur ma poitrine, tes lèvres posées sur moi,tu ressens mes soupirs, tu sens mon cœur qui bat,mon bras sur ton épaule ma main posées sur toi,mes doigts t'effleurent à peine tes seins de velours, et tu frémis déjà, ta douce main me caresse, tes ongles me menaces, ton corps se fait plus souple, et d'une jambe tu m'enlaces, d'une infinie tendresse de celle qui ensorcelle, ma main roule sur toi, sur ton corps qui m'appelle vient adoucir ma souffrance d'attendre nos ébats.

     

    Tu te fais plus pressente, tes seins pointes sur moi,je caresse tes cheveux, et te dis aime moi, comme seule toi sait le faire, avec douceur, sagesse, et tendresse, et  noblesse, tu relèves la tête tes yeux parlent l'amour insolent, nos deux corps devienne silence, d'un baiser langoureux débute nos ébats d'amour, ton regard deviens supplice, tu dédicaces enfin des voyelles, tes lèvres tremblent de désirs alloue mon corps de mes baisers humides vus le mélange de nos langues.

    Ta flagrance déshabillée de sa pudeur, m'entraine dans cette essence de plaisirs, mes yeux sont sacrifiés, je ne vois plus ton corps, mon âme m'oppresse, tes mains deviennes pétales de rose, douceurs, tu arrives au sommet du possible, tu ne peux résister, tes paupières se fermes, tu vas finir sur l'échafaud de la jouissance, tu vas rendre les armes, ton corps est en feu, tu me supplie, viens-viens, dans un dernier cri, tu lâche dans un tourbillon de plaisirs, tu me crie un dernier suffocant « je t'aime »tes sens sont en pleins délires.

     

    Avec toute ma tendresse amour, Je t'embrasse avec un doux baiser précieux à mes yeux.

    Qui dira un je t'aime à ton cœur de nymphomane car tu vis pour le sexe, et le sexe est devenu ta drogue de jour, et de nuit.

    Ton pubis et tous plaquer de sperme également, et tu me demande de le laver avec ma langue afin d'en récupérer un petite partie au dernier baiser. Ton médicament pour dormir.

     

    Respectueusement Zéphy 

     

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